Né le 18 mars 1945 à Marseille, Gérard Bleinc découvre Rougiers en 1970 et se lie immédiatement à cette ville qu’il décrira plus tard en ces termes : « Je l’ai aimé au premier jour et je continuerai de l’aimer ». Une déclaration prémonitoire d’un homme dont l’amour pour sa commune ne faillit jamais.
Membre du Parti communiste français (PCF) dans un premier temps, puis engagé dans des mouvements de gauche, Gérard Bleinc a été élu conseiller municipal en 1989 avant de devenir maire en 1995, un poste qu’il occupa pendant 25 ans. Son action a été marquée par de nombreuses réalisations qui ont amélioré le quotidien des Rougiérois,
Telles que la construction de l’école élémentaire, l’aménagement du restaurant scolaire, la création de stations d’épuration et de potabilisation, la gare des cars ou encore l’extension de la médiathèque.
Louis Chamoin, son fidèle adjoint, a souligné "le sacrifice familial, l’engagement, le travail continuel et parfois difficile" de l’ancien maire. Gérard Bleinc n’a pas seulement marqué l’histoire de Rougiers par ses projets d'envergure, il a aussi été un homme de convictions, profondément respecté dans sa commune et au-delà.
Au-delà de sa fonction de maire, Gérard Bleinc a également joué un rôle majeur dans le développement intercommunal. Il a été vice-président de la communauté de communes Sainte Baume-Mont Aurélien pendant 16 ans, puis vice-président de l’agglomération Provence Verte durant trois années. Très impliqué dans la vie associative, il était également un membre actif du Souvenir Français.
De nombreuses personnalités politiques ont rendu hommage à cet homme d’exception.
Membre du Parti communiste français (PCF) dans un premier temps, puis engagé dans des mouvements de gauche, Gérard Bleinc a été élu conseiller municipal en 1989 avant de devenir maire en 1995, un poste qu’il occupa pendant 25 ans. Son action a été marquée par de nombreuses réalisations qui ont amélioré le quotidien des Rougiérois,
Telles que la construction de l’école élémentaire, l’aménagement du restaurant scolaire, la création de stations d’épuration et de potabilisation, la gare des cars ou encore l’extension de la médiathèque.
Louis Chamoin, son fidèle adjoint, a souligné "le sacrifice familial, l’engagement, le travail continuel et parfois difficile" de l’ancien maire. Gérard Bleinc n’a pas seulement marqué l’histoire de Rougiers par ses projets d'envergure, il a aussi été un homme de convictions, profondément respecté dans sa commune et au-delà.
Au-delà de sa fonction de maire, Gérard Bleinc a également joué un rôle majeur dans le développement intercommunal. Il a été vice-président de la communauté de communes Sainte Baume-Mont Aurélien pendant 16 ans, puis vice-président de l’agglomération Provence Verte durant trois années. Très impliqué dans la vie associative, il était également un membre actif du Souvenir Français.
De nombreuses personnalités politiques ont rendu hommage à cet homme d’exception.
Alain Decanis, maire de Saint-Maximin, se souvient de lui comme « un compagnon politique généreux, respectueux de la parole donnée, et un homme de convictions pour qui le mot valeur avait du sens ».
L’actuel maire de Rougiers, Patrice Tonarelli, a choisi de respecter la volonté de la famille et n’a pas souhaité faire de déclaration publique. Cependant, l’émotion est palpable dans la ville qui perd l’un de ses plus grands serviteurs.
Si Gérard Bleinc avait laissé planer le doute sur sa candidature aux élections municipales de 2026, il n’avait pas souhaité se représenter lors du dernier scrutin en 2020. Il rejoint désormais son épouse Christiane, qu'il a tant aimée, et laisse derrière lui leurs deux enfants et trois petits-enfants, auxquels la rédaction adresse ses sincères condoléances.