Nous ne faisons pas de politique partisane : nous faisons du journalisme, certes bénévolement, mais avec rigueur.
Pourtant, chaque jour, ce travail est attaqué. Les médias, qu’ils soient nationaux comme France Inter ou Mediapart, régionaux comme Marsactu, ou associatifs et bénévoles comme nous, font face à des pressions constantes des politiques.
Pressions judiciaires, mises en demeure, critiques publiques, campagnes de dénigrement… Tout cela parce que nous révélons des faits que certains préfèreraient garder dans l’ombre.
Dans notre cas précis, certains élus ou militants laissent entendre que nous serions « à la solde » de tel ou tel camp, que dans notre rédaction plane l’odeur d’un loup caché.
Ces accusations ne remettent pas en cause la véracité de notre travail, mais visent à le discréditer. Crier au loup et se présenter comme une victime sont des méthodes de manipulation bien connues.
Elles reflètent une réalité inquiétante : la liberté de la presse et le pluralisme sont souvent remis en question par ceux qui se sentent attaqués.
Depuis ce printemps, L’Affranchi Mag a fait face à des mises en demeure suite à la publication d’enquêtes sur des affaires locales. Des articles pourtant factuels et vérifiés ont déclenché des attaques personnelles contre nos journalistes. Certaines publications en ligne, ainsi que des militants sur les réseaux sociaux, ont multiplié les campagnes pour discréditer notre travail, allant jusqu’à laisser entendre que nous servions des intérêts particuliers.
Je tiens ici, en tant que rédacteur en chef, à affirmer mon soutien total à chaque membre de cette équipe. Nos journalistes, pigistes et bénévoles travaillent avec professionnalisme et engagement. Chaque article est le fruit d’enquêtes, de vérifications et de recoupements. Aucun ne se fait au gré des pressions ou des intérêts extérieurs.
Nous savons que notre travail dérange parfois. Il dérange parce qu’il éclaire, parce qu’il questionne, parce qu’il met en lumière ce qui serait autrement invisible. Nous savons aussi que les chroniques à sensation et les « clashs » médiatiques font souvent plus parler que nos enquêtes. Mais nous ne céderons pas à cette logique : notre rôle n’est pas de plaire, il est de rapporter la réalité avec intégrité.
Le pluralisme n’est pas un luxe : c’est une nécessité pour une démocratie saine. Il exige des médias libres, indépendants, capables de tenir tête aux puissants et de donner la parole à celles et ceux qui n’en ont pas toujours. C’est cette responsabilité que nous prenons au sérieux, et c’est ce que défend chaque jour notre rédaction.
À toutes celles et ceux qui doutent ou qui tentent de nous intimider, nous voulons dire ceci : nous continuerons. Nous continuerons à enquêter, à publier, à informer. Nous continuerons, ensemble, à défendre le journalisme libre et indépendant. Et nous continuerons, surtout, à soutenir chaque journaliste de notre équipe qui, chaque jour, choisit l’honnêteté et le courage face aux pressions et aux menaces.
Tous nos articles sont signés par leurs rédacteurs, qui en assument la responsabilité. Nous remercions tous les messages de soutien reçus et sommes sensibles au nombre de lecteurs qui consultent nos articles.
Lors de notre création, nous avons beaucoup hésité à aborder la politique. Cependant, après les élections législatives de 2024, nous avons décidé d’en parler. Nous n’avions jamais imaginé où cela nous mènerait. Malgré les critiques, nous ne renoncerons pas, car ces attaques renforcent la crédibilité de notre travail.
Être libre, c’est rester fidèle à l’honneur et à ses convictions.
Pourtant, chaque jour, ce travail est attaqué. Les médias, qu’ils soient nationaux comme France Inter ou Mediapart, régionaux comme Marsactu, ou associatifs et bénévoles comme nous, font face à des pressions constantes des politiques.
Pressions judiciaires, mises en demeure, critiques publiques, campagnes de dénigrement… Tout cela parce que nous révélons des faits que certains préfèreraient garder dans l’ombre.
Dans notre cas précis, certains élus ou militants laissent entendre que nous serions « à la solde » de tel ou tel camp, que dans notre rédaction plane l’odeur d’un loup caché.
Ces accusations ne remettent pas en cause la véracité de notre travail, mais visent à le discréditer. Crier au loup et se présenter comme une victime sont des méthodes de manipulation bien connues.
Elles reflètent une réalité inquiétante : la liberté de la presse et le pluralisme sont souvent remis en question par ceux qui se sentent attaqués.
Depuis ce printemps, L’Affranchi Mag a fait face à des mises en demeure suite à la publication d’enquêtes sur des affaires locales. Des articles pourtant factuels et vérifiés ont déclenché des attaques personnelles contre nos journalistes. Certaines publications en ligne, ainsi que des militants sur les réseaux sociaux, ont multiplié les campagnes pour discréditer notre travail, allant jusqu’à laisser entendre que nous servions des intérêts particuliers.
Je tiens ici, en tant que rédacteur en chef, à affirmer mon soutien total à chaque membre de cette équipe. Nos journalistes, pigistes et bénévoles travaillent avec professionnalisme et engagement. Chaque article est le fruit d’enquêtes, de vérifications et de recoupements. Aucun ne se fait au gré des pressions ou des intérêts extérieurs.
Nous savons que notre travail dérange parfois. Il dérange parce qu’il éclaire, parce qu’il questionne, parce qu’il met en lumière ce qui serait autrement invisible. Nous savons aussi que les chroniques à sensation et les « clashs » médiatiques font souvent plus parler que nos enquêtes. Mais nous ne céderons pas à cette logique : notre rôle n’est pas de plaire, il est de rapporter la réalité avec intégrité.
Le pluralisme n’est pas un luxe : c’est une nécessité pour une démocratie saine. Il exige des médias libres, indépendants, capables de tenir tête aux puissants et de donner la parole à celles et ceux qui n’en ont pas toujours. C’est cette responsabilité que nous prenons au sérieux, et c’est ce que défend chaque jour notre rédaction.
À toutes celles et ceux qui doutent ou qui tentent de nous intimider, nous voulons dire ceci : nous continuerons. Nous continuerons à enquêter, à publier, à informer. Nous continuerons, ensemble, à défendre le journalisme libre et indépendant. Et nous continuerons, surtout, à soutenir chaque journaliste de notre équipe qui, chaque jour, choisit l’honnêteté et le courage face aux pressions et aux menaces.
Tous nos articles sont signés par leurs rédacteurs, qui en assument la responsabilité. Nous remercions tous les messages de soutien reçus et sommes sensibles au nombre de lecteurs qui consultent nos articles.
Lors de notre création, nous avons beaucoup hésité à aborder la politique. Cependant, après les élections législatives de 2024, nous avons décidé d’en parler. Nous n’avions jamais imaginé où cela nous mènerait. Malgré les critiques, nous ne renoncerons pas, car ces attaques renforcent la crédibilité de notre travail.
Être libre, c’est rester fidèle à l’honneur et à ses convictions.