*l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. a consommer avec modération.
Cette décision fait suite à une plainte de l’Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) et du syndicat des vins Côtes de Provence.
En cause, l’ancienne appellation "Luberon Cœur de Provence", jugée trompeuse car elle évoque les appellations d’origine protégée (AOP) "Côtes de Provence", "Coteaux d’Aix-en-Provence", "Coteaux varois en Provence" et "Baux-de-Provence", alors que les vins du Vaucluse n’en font pas partie.
Selon les juges, même une évocation indirecte suffit à porter atteinte à ces appellations strictement encadrées par la législation européenne. Par conséquent, il est désormais interdit d’associer le mot "Provence" à des vins, des exploitations viticoles ou des événements œnologiques vauclusiens, quelle que soit leur proximité géographique avec la région Provence.
Les conséquences sont lourdes pour les acteurs touristiques et viticoles du Vaucluse : l’office de tourisme, soutenu par plusieurs institutions locales (Département, Chambre d’agriculture, syndicats viticoles…), a été condamné à verser 6 000 € à l’INAO et au syndicat des vins Côtes de Provence.
Malgré les tensions, cette décision rappelle l’importance de la protection des AOP et la rigueur du cadre légal qui les entoure. Le territoire vauclusien devra désormais redéfinir sa stratégie de communication œnotouristique sans référence à la Provence, au profit de ses propres appellations comme Ventoux, Luberon ou Châteauneuf-du-Pape.
En cause, l’ancienne appellation "Luberon Cœur de Provence", jugée trompeuse car elle évoque les appellations d’origine protégée (AOP) "Côtes de Provence", "Coteaux d’Aix-en-Provence", "Coteaux varois en Provence" et "Baux-de-Provence", alors que les vins du Vaucluse n’en font pas partie.
Selon les juges, même une évocation indirecte suffit à porter atteinte à ces appellations strictement encadrées par la législation européenne. Par conséquent, il est désormais interdit d’associer le mot "Provence" à des vins, des exploitations viticoles ou des événements œnologiques vauclusiens, quelle que soit leur proximité géographique avec la région Provence.
Les conséquences sont lourdes pour les acteurs touristiques et viticoles du Vaucluse : l’office de tourisme, soutenu par plusieurs institutions locales (Département, Chambre d’agriculture, syndicats viticoles…), a été condamné à verser 6 000 € à l’INAO et au syndicat des vins Côtes de Provence.
Malgré les tensions, cette décision rappelle l’importance de la protection des AOP et la rigueur du cadre légal qui les entoure. Le territoire vauclusien devra désormais redéfinir sa stratégie de communication œnotouristique sans référence à la Provence, au profit de ses propres appellations comme Ventoux, Luberon ou Châteauneuf-du-Pape.
*l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. a consommer avec modération.