Ce dernier, après avoir vu son véhicule incendié devant son domicile, avait adressé un courrier au ministre de la Justice, Gérald Darmanin, resté sans réponse. L'agent s'était ensuite tourné vers le député de sa circonscription, qui a décidé d’agir face à ce silence.
Marc Pena, membre de la commission des lois à l'Assemblée nationale, a assuré qu'il allait faire entendre la voix des surveillants. "En tant que député, il est de ma responsabilité de porter ce sujet", a-t-il déclaré.
Le député a annoncé son intention de poser une question écrite à Gérald Darmanin, dans laquelle il demandera des réponses sur la situation des surveillants pénitentiaires. "Ses services auront l’obligation de répondre dans un délai de deux mois", a rappelé Marc Pena.
Marc Pena prévoit également de rédiger un rapport circonstancié avec des propositions concrètes pour améliorer les conditions de travail des surveillants et la sécurité des établissements pénitentiaires.
Il souhaite notamment alerter le ministre sur les conditions de travail difficiles des surveillants de la prison de Luynes, où la situation est particulièrement préoccupante.
La prison de Luynes est confrontée à une grave surpopulation. Elle dispose de 1 420 places pour 2 093 détenus, soit une surpopulation de 174 à 176 % selon les quartiers. De plus, le nombre de surveillants est insuffisant, avec seulement 400 agents pour gérer plus de 2 000 détenus, dont une vingtaine en arrêt maladie longue durée.
Le représentant syndical a insisté sur le déficit de moyens matériels, humains et sécuritaires, soulignant qu'il existe un besoin urgent de réformes dans les prisons françaises.
Marc Pena a également soutenu l'idée de mieux écouter les surveillants, qui ont des propositions pour améliorer la situation. Une de ces propositions inclut l'installation de portiques de sécurité pour les fouilles des détenus, afin d'améliorer la sécurité tout en préservant la dignité des agents et des prisonniers. "Il faut les écouter", a insisté le député.
Ce soutien vient souligner la volonté de Marc Pena de mettre en lumière les difficultés rencontrées par les surveillants et de plaider pour des solutions concrètes et durables face à une situation qui ne cesse de se dégrader.
Marc Pena, membre de la commission des lois à l'Assemblée nationale, a assuré qu'il allait faire entendre la voix des surveillants. "En tant que député, il est de ma responsabilité de porter ce sujet", a-t-il déclaré.
Le député a annoncé son intention de poser une question écrite à Gérald Darmanin, dans laquelle il demandera des réponses sur la situation des surveillants pénitentiaires. "Ses services auront l’obligation de répondre dans un délai de deux mois", a rappelé Marc Pena.
Marc Pena prévoit également de rédiger un rapport circonstancié avec des propositions concrètes pour améliorer les conditions de travail des surveillants et la sécurité des établissements pénitentiaires.
Il souhaite notamment alerter le ministre sur les conditions de travail difficiles des surveillants de la prison de Luynes, où la situation est particulièrement préoccupante.
La prison de Luynes est confrontée à une grave surpopulation. Elle dispose de 1 420 places pour 2 093 détenus, soit une surpopulation de 174 à 176 % selon les quartiers. De plus, le nombre de surveillants est insuffisant, avec seulement 400 agents pour gérer plus de 2 000 détenus, dont une vingtaine en arrêt maladie longue durée.
Le représentant syndical a insisté sur le déficit de moyens matériels, humains et sécuritaires, soulignant qu'il existe un besoin urgent de réformes dans les prisons françaises.
Marc Pena a également soutenu l'idée de mieux écouter les surveillants, qui ont des propositions pour améliorer la situation. Une de ces propositions inclut l'installation de portiques de sécurité pour les fouilles des détenus, afin d'améliorer la sécurité tout en préservant la dignité des agents et des prisonniers. "Il faut les écouter", a insisté le député.
Ce soutien vient souligner la volonté de Marc Pena de mettre en lumière les difficultés rencontrées par les surveillants et de plaider pour des solutions concrètes et durables face à une situation qui ne cesse de se dégrader.