Photo ville de Rians - DR
Les installations précédentes, arrivées à saturation, ne permettaient plus de faire face à l’augmentation de la population ni d’assurer un traitement optimal des eaux usées. Désormais, grâce à des équipements de pointe, la capacité de traitement a été nettement renforcée, tout comme la qualité des rejets dans le milieu naturel, avec une meilleure élimination de l’azote et du phosphore deux éléments contribuant à la prolifération d’algues dans les cours d’eau.
À Rians, la nouvelle station a été mise en service en octobre 2024, pour un montant de 3,2 millions d’euros. Elle peut désormais traiter les effluents de 4.500 équivalents-habitants (EH) en période de pointe. Un bassin tampon de 350 m³ a été prévu pour absorber les pics hydrauliques lors de fortes pluies. À noter que le blocage des permis de construire, décidé par la préfecture en raison de l’ancienne station saturée, avait lourdement pénalisé la commune sur le plan économique.
Du côté de Ginasservis, l’installation a été inaugurée en décembre 2024 pour un coût de 2,2 millions d’euros. Conçue pour 2.400 EH, elle pourra atteindre les 3.200 EH grâce à l’ajout futur d’un bassin complémentaire.
L’inauguration officielle s’est tenue en présence de la sous-préfète de Brignoles, Anne-Cécile Vialle, qui a coupé le ruban aux côtés des partenaires financiers du projet : Agence de l’Eau, Département, Parc naturel régional du Verdon, ainsi que la Société du Canal de Provence pour le site de Ginasservis.
Roch Basile, directeur régional Sud chez Aqualter, exploitant des deux stations, a souligné l’effort réalisé pour limiter l’impact visuel, sonore et olfactif des installations : « Nous avons veillé à proposer un projet parfaitement intégré à l’environnement et respectueux du paysage. »
Les anciennes stations ont été déconstruites et les terrains réhabilités par une végétalisation complète, concluant ainsi un projet à la fois technique, environnemental et structurant pour l’avenir des deux communes.
À Rians, la nouvelle station a été mise en service en octobre 2024, pour un montant de 3,2 millions d’euros. Elle peut désormais traiter les effluents de 4.500 équivalents-habitants (EH) en période de pointe. Un bassin tampon de 350 m³ a été prévu pour absorber les pics hydrauliques lors de fortes pluies. À noter que le blocage des permis de construire, décidé par la préfecture en raison de l’ancienne station saturée, avait lourdement pénalisé la commune sur le plan économique.
Du côté de Ginasservis, l’installation a été inaugurée en décembre 2024 pour un coût de 2,2 millions d’euros. Conçue pour 2.400 EH, elle pourra atteindre les 3.200 EH grâce à l’ajout futur d’un bassin complémentaire.
L’inauguration officielle s’est tenue en présence de la sous-préfète de Brignoles, Anne-Cécile Vialle, qui a coupé le ruban aux côtés des partenaires financiers du projet : Agence de l’Eau, Département, Parc naturel régional du Verdon, ainsi que la Société du Canal de Provence pour le site de Ginasservis.
Roch Basile, directeur régional Sud chez Aqualter, exploitant des deux stations, a souligné l’effort réalisé pour limiter l’impact visuel, sonore et olfactif des installations : « Nous avons veillé à proposer un projet parfaitement intégré à l’environnement et respectueux du paysage. »
Les anciennes stations ont été déconstruites et les terrains réhabilités par une végétalisation complète, concluant ainsi un projet à la fois technique, environnemental et structurant pour l’avenir des deux communes.