photo d'illustration
À l’école Jean-Jaurès, les couloirs résonnent déjà d’une odeur de peinture fraîche. Le bureau de la directrice a retrouvé des murs lumineux, et la classe Ulis a été totalement repeinte. « Les enfants seront ravis de retrouver une salle plus accueillante », se réjouit une enseignante croisée sur place. Dans la classe, un nouveau sol a été posé, prêt à supporter des centaines de pas d’élèves. La chaufferie attend encore son armoire électrique, mais le maire l’assure : « Tout sera en place avant l’hiver ».
À Paul-Verlaine, c’est la toiture de la chaufferie qui a retrouvé son étanchéité. Les robinets thermostatiques des radiateurs ont été remplacés et, grande nouveauté, des climatiseurs doivent être installés depuis mi-août. « Un vrai confort pour les enfants en période de forte chaleur », souligne un parent d’élève.
Les pinceaux ont également couru sur les murs de l’école Grand Pin, où les couloirs offrent désormais un visage rafraîchi. À Paul-Barles, l’attention s’est portée sur l’étanchéité des classes 3 à 5, un chantier moins visible mais essentiel.
Au total, ces interventions, parfois discrètes mais toujours indispensables, traduisent une volonté claire de la municipalité : offrir aux élèves des conditions d’apprentissage optimales. « Je tiens à saluer la mobilisation de notre service technique, qui n’a pas ménagé ses efforts pour que tout soit prêt en septembre », insiste le maire.
Les écoliers n’auront plus qu’à franchir les portes, cartables au dos, pour découvrir leurs établissements sous leur meilleur jour.
À Paul-Verlaine, c’est la toiture de la chaufferie qui a retrouvé son étanchéité. Les robinets thermostatiques des radiateurs ont été remplacés et, grande nouveauté, des climatiseurs doivent être installés depuis mi-août. « Un vrai confort pour les enfants en période de forte chaleur », souligne un parent d’élève.
Les pinceaux ont également couru sur les murs de l’école Grand Pin, où les couloirs offrent désormais un visage rafraîchi. À Paul-Barles, l’attention s’est portée sur l’étanchéité des classes 3 à 5, un chantier moins visible mais essentiel.
Au total, ces interventions, parfois discrètes mais toujours indispensables, traduisent une volonté claire de la municipalité : offrir aux élèves des conditions d’apprentissage optimales. « Je tiens à saluer la mobilisation de notre service technique, qui n’a pas ménagé ses efforts pour que tout soit prêt en septembre », insiste le maire.
Les écoliers n’auront plus qu’à franchir les portes, cartables au dos, pour découvrir leurs établissements sous leur meilleur jour.