Pascal Speter
Une décision qu’il qualifie d’« intime, réfléchie » et marquée par la volonté de revenir à l’essentiel, loin des affrontements et des discours partisans.
Dans ce texte empreint de gravité et d’apaisement, Pascal Speter dresse le bilan d’un engagement qui a profondément structuré sa vie. Il évoque sans détour les combats menés, les espoirs nourris, mais aussi les déceptions et les blessures qui jalonnent tout parcours politique.
Sans renier son passé, il affirme toutefois ressentir aujourd’hui la nécessité de s’arrêter et de choisir une autre forme d’engagement.
Ce choix s’ancre dans son métier d’éducateur qu’il exerce depuis 1991, qu’il place désormais au cœur de ses priorités.
Un engagement de terrain de plus de 34 ans, discret mais constant, auprès des jeunes, des familles et des personnes fragilisées. « Être là, simplement, quand c’est nécessaire », écrit-il, revendiquant une action concrète plutôt que des promesses irréalisables.
Au-delà de sa profession, Pascal Speter affirme vouloir investir pleinement le monde associatif, qu’il décrit comme le « cœur battant des territoires ». Il y voit un espace d’action sincère, porté par des bénévoles et des structures locales qui œuvrent souvent dans l’ombre, avec peu de moyens mais une détermination sans faille.
C’est dans cette sphère qu’il entend désormais concentrer son énergie, privilégiant la construction à l’affrontement politique.
S’il se retire de la vie politique, Pascal Speter ne disparaît pas pour autant de l’espace public. Il indique qu’il restera présent sur les réseaux sociaux, mais avec une ligne claire : ne plus commenter l’actualité politique, et mettre en lumière les initiatives humaines, solidaires et associatives. « Je ne parlerai plus de politique. Je parlerai d’humain », résume-t-il.
Dans un passage particulièrement personnel, il adresse enfin un message à celles et ceux qui l’ont accompagné ou contesté tout au long de son parcours. Soutiens fidèles comme opposants critiques ont, selon lui, contribué à forger la personne qu’il est aujourd’hui. Il affirme quitter la scène politique sans amertume, « apaisé », avec le sentiment d’avoir donné ce qu’il pouvait à un moment donné de sa vie.
« Une page se tourne. Le livre, lui, continue. Sur le terrain. Auprès de l’humain. » Par ces mots, Pascal Speter signe un retrait politique assumé, au profit d’un engagement qu’il souhaite plus proche, plus concret et résolument tourné vers l’action sociale.
À noter que dans son communiqué, Pascal Speter n’a fait aucune allusion à la majorité sortante, ni à l’opposition, pas plus qu’il n’a évoqué des perspectives électorales futures, confirmant ainsi surement la volonté d’un retrait clair et sans ambiguïté.
Dans ce texte empreint de gravité et d’apaisement, Pascal Speter dresse le bilan d’un engagement qui a profondément structuré sa vie. Il évoque sans détour les combats menés, les espoirs nourris, mais aussi les déceptions et les blessures qui jalonnent tout parcours politique.
Sans renier son passé, il affirme toutefois ressentir aujourd’hui la nécessité de s’arrêter et de choisir une autre forme d’engagement.
Ce choix s’ancre dans son métier d’éducateur qu’il exerce depuis 1991, qu’il place désormais au cœur de ses priorités.
Un engagement de terrain de plus de 34 ans, discret mais constant, auprès des jeunes, des familles et des personnes fragilisées. « Être là, simplement, quand c’est nécessaire », écrit-il, revendiquant une action concrète plutôt que des promesses irréalisables.
Au-delà de sa profession, Pascal Speter affirme vouloir investir pleinement le monde associatif, qu’il décrit comme le « cœur battant des territoires ». Il y voit un espace d’action sincère, porté par des bénévoles et des structures locales qui œuvrent souvent dans l’ombre, avec peu de moyens mais une détermination sans faille.
C’est dans cette sphère qu’il entend désormais concentrer son énergie, privilégiant la construction à l’affrontement politique.
S’il se retire de la vie politique, Pascal Speter ne disparaît pas pour autant de l’espace public. Il indique qu’il restera présent sur les réseaux sociaux, mais avec une ligne claire : ne plus commenter l’actualité politique, et mettre en lumière les initiatives humaines, solidaires et associatives. « Je ne parlerai plus de politique. Je parlerai d’humain », résume-t-il.
Dans un passage particulièrement personnel, il adresse enfin un message à celles et ceux qui l’ont accompagné ou contesté tout au long de son parcours. Soutiens fidèles comme opposants critiques ont, selon lui, contribué à forger la personne qu’il est aujourd’hui. Il affirme quitter la scène politique sans amertume, « apaisé », avec le sentiment d’avoir donné ce qu’il pouvait à un moment donné de sa vie.
« Une page se tourne. Le livre, lui, continue. Sur le terrain. Auprès de l’humain. » Par ces mots, Pascal Speter signe un retrait politique assumé, au profit d’un engagement qu’il souhaite plus proche, plus concret et résolument tourné vers l’action sociale.
À noter que dans son communiqué, Pascal Speter n’a fait aucune allusion à la majorité sortante, ni à l’opposition, pas plus qu’il n’a évoqué des perspectives électorales futures, confirmant ainsi surement la volonté d’un retrait clair et sans ambiguïté.