Cette journée placée sous le signe de la solidarité a permis d’aborder les actions du Département en matière de protection de l’enfance, d’insertion, de santé, de handicap et d’accompagnement des personnes âgées.
À cette occasion, Martine Vassal a inauguré la 46e Maison du bel âge, un établissement destiné à lutter contre l’isolement des seniors, situé avenue Barthélémy. Le conseiller départemental Jean-Marc Perrin a rappelé que ce réseau d’établissements accompagne aujourd’hui quelque 40 000 personnes âgées.
La présidente du Département a également salué la Villa Sainte-Victoire, une résidence autonomie ouverte depuis mars 2023 à Fuveau, ainsi que le rôle des Maisons départementales de la solidarité (MDS), présentées par Martial Alvarez, délégué aux politiques publiques en la matière.
La jeunesse a aussi été mise à l’honneur avec la présence de représentants du conseil départemental des jeunes et du conseil des jeunes de la protection de l’enfance. Martine Vassal a souligné l’importance de ce dernier organe consultatif, évoquant des propositions "pertinentes" qui seront mises en œuvre, selon elle.
Enfin, la maire de Fuveau et conseillère départementale du canton de Trets, Béatrice Bonfillon-Chiavassa, a remercié le Département pour son "soutien précieux" dans un contexte de fortes attentes locales.
À cette occasion, Martine Vassal a inauguré la 46e Maison du bel âge, un établissement destiné à lutter contre l’isolement des seniors, situé avenue Barthélémy. Le conseiller départemental Jean-Marc Perrin a rappelé que ce réseau d’établissements accompagne aujourd’hui quelque 40 000 personnes âgées.
La présidente du Département a également salué la Villa Sainte-Victoire, une résidence autonomie ouverte depuis mars 2023 à Fuveau, ainsi que le rôle des Maisons départementales de la solidarité (MDS), présentées par Martial Alvarez, délégué aux politiques publiques en la matière.
La jeunesse a aussi été mise à l’honneur avec la présence de représentants du conseil départemental des jeunes et du conseil des jeunes de la protection de l’enfance. Martine Vassal a souligné l’importance de ce dernier organe consultatif, évoquant des propositions "pertinentes" qui seront mises en œuvre, selon elle.
Enfin, la maire de Fuveau et conseillère départementale du canton de Trets, Béatrice Bonfillon-Chiavassa, a remercié le Département pour son "soutien précieux" dans un contexte de fortes attentes locales.
Malgré l’ampleur de la polémique sur le collège de Trets, ni Martine Vassal, ni Béatrice Bonfillon-Chiavassa n’ont évoqué le sujet
Alors même que l’événement se tenait à quelques kilomètres de Trets, la présidente du Département n’a pas abordé un sujet qui divise actuellement la commune : le projet de changement de nom du collège Le Haut de l’Arc.
Actuellement, le Département et en particulier le conseiller départemental Pascal Chauvin militent activement pour que l’établissement soit rebaptisé du nom de Suzanne Négrel. Mais cette proposition ne fait pas consensus.
Une consultation a été organisée auprès des représentants de parents d’élèves, qui ont majoritairement voté en faveur d’un autre nom : Malala Yousafzai, militante pakistanaise pour l’éducation des filles et prix Nobel de la paix.
D’autres voix, parmi d'anciens élèves et d'habitants, plaident quant à elles pour que le collège conserve son nom actuel, Le Haut de l’Arc, jugé neutre et enraciné dans l’histoire locale.
Cette divergence a entraîné une mobilisation croissante sur les réseaux sociaux. Plusieurs parents dénoncent un processus "biaisé" ou "instrumentalisé politiquement". Certains s’interrogent aussi sur l’opportunité d’un changement de nom alors que d’autres priorités touchent le quotidien des élèves, comme la sécurité, les effectifs ou l’équipement pédagogique.
Malgré l’ampleur de la polémique, ni Martine Vassal, ni Béatrice Bonfillon-Chiavassa n’ont évoqué le sujet durant la réunion publique. Un silence que plusieurs participants jugent incompréhensible, au vu de l’écho local de l’affaire.
Actuellement, le Département et en particulier le conseiller départemental Pascal Chauvin militent activement pour que l’établissement soit rebaptisé du nom de Suzanne Négrel. Mais cette proposition ne fait pas consensus.
Une consultation a été organisée auprès des représentants de parents d’élèves, qui ont majoritairement voté en faveur d’un autre nom : Malala Yousafzai, militante pakistanaise pour l’éducation des filles et prix Nobel de la paix.
D’autres voix, parmi d'anciens élèves et d'habitants, plaident quant à elles pour que le collège conserve son nom actuel, Le Haut de l’Arc, jugé neutre et enraciné dans l’histoire locale.
Cette divergence a entraîné une mobilisation croissante sur les réseaux sociaux. Plusieurs parents dénoncent un processus "biaisé" ou "instrumentalisé politiquement". Certains s’interrogent aussi sur l’opportunité d’un changement de nom alors que d’autres priorités touchent le quotidien des élèves, comme la sécurité, les effectifs ou l’équipement pédagogique.
Malgré l’ampleur de la polémique, ni Martine Vassal, ni Béatrice Bonfillon-Chiavassa n’ont évoqué le sujet durant la réunion publique. Un silence que plusieurs participants jugent incompréhensible, au vu de l’écho local de l’affaire.