Pas folle, la retraitée ne met pas un pied dedans. Elle appelle les gendarmes et attend dehors. Quelques minutes plus tard, les militaires entrent… et trouvent un jeune homme allongé sur le canapé, en train de ronfler comme si de rien n’était.
Cannabis, cocaïne et somnifères
Le squatteur improvisé, Mohamed Y., 20 ans, d’origine marocaine, ne parle pas français et n’a pas de domicile. Le soir des faits, il était complètement “déconnecté” : cannabis, cocaïne, médicaments… tout un cocktail qui l’a plongé dans un sommeil profond.
Il jure qu’il n’a pas cassé la vitre : « Elle était déjà brisée, j’ai juste ouvert », dit-il. Sauf que Jacqueline, elle, affirme le contraire. Quant aux enquêteurs, ils pensent qu’il a fouillé la maison avant de s’écrouler, vu le désordre ambiant.
Le plus insolite ? Quelques heures plus tôt, Mohamed sortait tout juste de garde à vue… et, déjà, il ne voulait pas partir. Ce soir-là, visiblement, il cherchait surtout un endroit pour dormir, quitte à s’inviter chez quelqu’un sans prévenir.
Jugé en comparution immédiate lundi 11 août à Aix, il s’est excusé auprès de la vieille dame pour l’avoir trouvée “au mauvais endroit, au mauvais moment” ou plutôt sur le mauvais canapé.
Le procureur a demandé six mois de prison et cinq ans d’interdiction de territoire. Le tribunal a tranché : trois mois ferme, et retour à la case départ… mais cette fois, sans canapé moelleux.
Cannabis, cocaïne et somnifères
Le squatteur improvisé, Mohamed Y., 20 ans, d’origine marocaine, ne parle pas français et n’a pas de domicile. Le soir des faits, il était complètement “déconnecté” : cannabis, cocaïne, médicaments… tout un cocktail qui l’a plongé dans un sommeil profond.
Il jure qu’il n’a pas cassé la vitre : « Elle était déjà brisée, j’ai juste ouvert », dit-il. Sauf que Jacqueline, elle, affirme le contraire. Quant aux enquêteurs, ils pensent qu’il a fouillé la maison avant de s’écrouler, vu le désordre ambiant.
Le plus insolite ? Quelques heures plus tôt, Mohamed sortait tout juste de garde à vue… et, déjà, il ne voulait pas partir. Ce soir-là, visiblement, il cherchait surtout un endroit pour dormir, quitte à s’inviter chez quelqu’un sans prévenir.
Jugé en comparution immédiate lundi 11 août à Aix, il s’est excusé auprès de la vieille dame pour l’avoir trouvée “au mauvais endroit, au mauvais moment” ou plutôt sur le mauvais canapé.
Le procureur a demandé six mois de prison et cinq ans d’interdiction de territoire. Le tribunal a tranché : trois mois ferme, et retour à la case départ… mais cette fois, sans canapé moelleux.