Un an de liberté… et ce n’est que le début
Car être un média libre, ce n’est pas seulement publier des articles : c’est tenir debout quand d’autres veulent vous plier.
Dès le départ, nous avons annoncé la couleur : ici, on informe. Pas pour plaire, pas pour flatter, pas pour servir un camp. On informe pour éclairer, documenter, pousser à réfléchir. Nos articles sont sourcés, factuels, vérifiés.
Et ça, croyez-le, ça dérange.
On aurait aimé nous cantonner aux faits divers, à la culture, au sport. Du contenu « sage », « neutre », qui ne gêne personne et qui, surtout, ne met personne face à ses responsabilités et surtout pas parler politique.
Mais refuser de parler politique, c’est refuser de parler de ce qui touche directement la vie des citoyens. Et ça, nous ne l’acceptons pas.
Alors nous avons parlé. Nous avons enquêté. Nous avons donné la parole à tous, aux minorités invisibles, aux petites voix que l’on n’entend jamais, sans filtre partisan, sans compromis.
C’est là que certains ont montré leur vrai visage.
Des élus, de droite comme de gauche, nous ont fait comprendre parfois subtilement, parfois brutalement que nous devrions “adapter” notre ligne éditoriale.
Autrement dit, choisir nos sujets, nos angles, et nos mots… selon leurs intérêts !!! Et, dans certains cas, ce n’était pas seulement un souhait : c’était une tentative de pression claire.
Certains représentants des majorités, toutes couleurs confondues, auraient voulu nous dicter ce que nous devrions dire… et ce que nous devrions taire.
Mais céder, ce serait trahir notre mission, trahir nos lecteurs, trahir la démocratie elle-même.
Nous croyons qu’un média libre est un organe vital de la démocratie. Et un organe vital, on ne le laisse pas se faire étouffer par les puissants.
Nous avons résisté.
Nous avons tenu.
Et nous tenons encore, grâce à notre équipe, à notre rigueur… mais surtout grâce à vous. Vous qui nous lisez, nous soutenez, et refusez qu’on vous vole votre droit à une information libre.
Certains poussent le vice jusqu’au bout : mises en demeure à répétition, refus de répondre à nos questions, menaces déguisées… On se croirait à la fin de C8, diligente par l’ARCOM.
Dans un mois, nous fêterons un an. Un an d’indépendance, de vérité, de débats ouverts. Un an à dire les choses comme elles sont, même quand elles fâchent, surtout quand elles fâchent.
Et comme le répète souvent un membre de notre rédaction :
« Ça va envoyer du lourd… et ce n’est que le début. »
Le 15 septembre, nous soufflons notre première bougie et vous êtes invités à célébrer avec nous !
Pour l’occasion, nous vous dévoilerons :
✅ Le Top 10 de nos articles les plus lus
✅ Notre audience
✅ Les perspectives et projets à venir pour L’Affranchi Mag
Une année d’information libre, de vérités documentées et de petites voix enfin entendues… et ce n’est que le début !
Ne manquez pas cet événement, c’est votre rendez-vous avec la liberté d’informer.
Dès le départ, nous avons annoncé la couleur : ici, on informe. Pas pour plaire, pas pour flatter, pas pour servir un camp. On informe pour éclairer, documenter, pousser à réfléchir. Nos articles sont sourcés, factuels, vérifiés.
Et ça, croyez-le, ça dérange.
On aurait aimé nous cantonner aux faits divers, à la culture, au sport. Du contenu « sage », « neutre », qui ne gêne personne et qui, surtout, ne met personne face à ses responsabilités et surtout pas parler politique.
Mais refuser de parler politique, c’est refuser de parler de ce qui touche directement la vie des citoyens. Et ça, nous ne l’acceptons pas.
Alors nous avons parlé. Nous avons enquêté. Nous avons donné la parole à tous, aux minorités invisibles, aux petites voix que l’on n’entend jamais, sans filtre partisan, sans compromis.
C’est là que certains ont montré leur vrai visage.
Des élus, de droite comme de gauche, nous ont fait comprendre parfois subtilement, parfois brutalement que nous devrions “adapter” notre ligne éditoriale.
Autrement dit, choisir nos sujets, nos angles, et nos mots… selon leurs intérêts !!! Et, dans certains cas, ce n’était pas seulement un souhait : c’était une tentative de pression claire.
Certains représentants des majorités, toutes couleurs confondues, auraient voulu nous dicter ce que nous devrions dire… et ce que nous devrions taire.
Mais céder, ce serait trahir notre mission, trahir nos lecteurs, trahir la démocratie elle-même.
Nous croyons qu’un média libre est un organe vital de la démocratie. Et un organe vital, on ne le laisse pas se faire étouffer par les puissants.
Nous avons résisté.
Nous avons tenu.
Et nous tenons encore, grâce à notre équipe, à notre rigueur… mais surtout grâce à vous. Vous qui nous lisez, nous soutenez, et refusez qu’on vous vole votre droit à une information libre.
Certains poussent le vice jusqu’au bout : mises en demeure à répétition, refus de répondre à nos questions, menaces déguisées… On se croirait à la fin de C8, diligente par l’ARCOM.
Dans un mois, nous fêterons un an. Un an d’indépendance, de vérité, de débats ouverts. Un an à dire les choses comme elles sont, même quand elles fâchent, surtout quand elles fâchent.
Et comme le répète souvent un membre de notre rédaction :
« Ça va envoyer du lourd… et ce n’est que le début. »
Le 15 septembre, nous soufflons notre première bougie et vous êtes invités à célébrer avec nous !
Pour l’occasion, nous vous dévoilerons :
✅ Le Top 10 de nos articles les plus lus
✅ Notre audience
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Une année d’information libre, de vérités documentées et de petites voix enfin entendues… et ce n’est que le début !
Ne manquez pas cet événement, c’est votre rendez-vous avec la liberté d’informer.
Éditorial
