Une nouvelle association, baptisée "Merci Nico", voit le jour. Son objectif : sensibiliser, informer et former autour des risques liés à la pratique du rugby, notamment en matière de sécurité et d’équipement.
Le drame a bouleversé bien au-delà du monde du rugby. Nicolas, joueur prometteur de l’entente Provence verte et licencié du RC Toulon, a perdu la vie après avoir chuté sur un terrain synthétique humide, glissant alors qu’il s’apprêtait à plaquer un adversaire. Cet accident, survenu lors d’une rencontre contre Bastia XV, a mis en lumière un point de vigilance trop souvent négligé : l’adéquation des crampons avec les terrains.
Ses parents, qui refusent d’accuser qui que ce soit ni le sport, ni l’adversaire, ni les encadrants, veulent aujourd’hui contribuer à éviter d’autres accidents. Leur démarche repose sur la conviction que des gestes simples peuvent faire la différence : mieux choisir les crampons, instaurer un protocole de sortie en cas d’appuis non assurés, et mieux former l’ensemble des acteurs du rugby amateur.
La première action de l’association portera donc sur la sensibilisation des clubs, des éducateurs, des arbitres et des familles. Des outils pédagogiques sont déjà en préparation, comme des fiches pratiques pour choisir les chaussures adaptées selon le type de terrain. L’écart constaté entre les exigences sécuritaires du RCT et celles des petits clubs renforce leur motivation à généraliser de bonnes pratiques, partout.
Mais "Merci Nico", c’est aussi un projet qui veut prolonger l’esprit joyeux et passionné de Nicolas.
Loin d’être une structure triste ou fermée sur le deuil, l’association entend organiser des événements conviviaux, à l’image de son jeune héros. Une première soirée festive est prévue le mercredi 28 mai, jour de son anniversaire.
L’idée est claire : faire vivre le souvenir de Nico à travers des rassemblements chaleureux et porteurs de sens.
Parmi les projets à venir : des camps d’été, des tournois, des partenariats avec les clubs, et une volonté affirmée de mobiliser les jeunes, notamment les amis de Nico, qui se sont déjà portés volontaires pour s’engager comme bénévoles.
La vague de soutien qui a suivi le drame a profondément marqué la famille Haddad. Des milliers de personnes se sont mobilisées lors des obsèques à Saint-Maximin, formant une immense haie d’honneur entre le stade et la basilique. Un moment de communion fort, porté par une émotion collective. Depuis, les témoignages de solidarité ne cessent d’arriver, venant de toute la France, mais aussi de l’étranger.
Pour les parents de Nico, cette bienveillance, cette chaleur humaine, sont la preuve que leur fils continue de rassembler. À travers l’association "Merci Nico", ils entendent prolonger son engagement, sa passion du rugby, et sa générosité. Avec un seul mot d’ordre : faire en sorte que d’autres vies ne soient pas brisées pour une simple glissade.
Le drame a bouleversé bien au-delà du monde du rugby. Nicolas, joueur prometteur de l’entente Provence verte et licencié du RC Toulon, a perdu la vie après avoir chuté sur un terrain synthétique humide, glissant alors qu’il s’apprêtait à plaquer un adversaire. Cet accident, survenu lors d’une rencontre contre Bastia XV, a mis en lumière un point de vigilance trop souvent négligé : l’adéquation des crampons avec les terrains.
Ses parents, qui refusent d’accuser qui que ce soit ni le sport, ni l’adversaire, ni les encadrants, veulent aujourd’hui contribuer à éviter d’autres accidents. Leur démarche repose sur la conviction que des gestes simples peuvent faire la différence : mieux choisir les crampons, instaurer un protocole de sortie en cas d’appuis non assurés, et mieux former l’ensemble des acteurs du rugby amateur.
La première action de l’association portera donc sur la sensibilisation des clubs, des éducateurs, des arbitres et des familles. Des outils pédagogiques sont déjà en préparation, comme des fiches pratiques pour choisir les chaussures adaptées selon le type de terrain. L’écart constaté entre les exigences sécuritaires du RCT et celles des petits clubs renforce leur motivation à généraliser de bonnes pratiques, partout.
Mais "Merci Nico", c’est aussi un projet qui veut prolonger l’esprit joyeux et passionné de Nicolas.
Loin d’être une structure triste ou fermée sur le deuil, l’association entend organiser des événements conviviaux, à l’image de son jeune héros. Une première soirée festive est prévue le mercredi 28 mai, jour de son anniversaire.
L’idée est claire : faire vivre le souvenir de Nico à travers des rassemblements chaleureux et porteurs de sens.
Parmi les projets à venir : des camps d’été, des tournois, des partenariats avec les clubs, et une volonté affirmée de mobiliser les jeunes, notamment les amis de Nico, qui se sont déjà portés volontaires pour s’engager comme bénévoles.
La vague de soutien qui a suivi le drame a profondément marqué la famille Haddad. Des milliers de personnes se sont mobilisées lors des obsèques à Saint-Maximin, formant une immense haie d’honneur entre le stade et la basilique. Un moment de communion fort, porté par une émotion collective. Depuis, les témoignages de solidarité ne cessent d’arriver, venant de toute la France, mais aussi de l’étranger.
Pour les parents de Nico, cette bienveillance, cette chaleur humaine, sont la preuve que leur fils continue de rassembler. À travers l’association "Merci Nico", ils entendent prolonger son engagement, sa passion du rugby, et sa générosité. Avec un seul mot d’ordre : faire en sorte que d’autres vies ne soient pas brisées pour une simple glissade.