Une union sans la France insoumise
Objectif affiché : proposer « une alternative sociale, écologique et démocratique » à la droite aixoise. Dans ce texte, cosigné notamment par le Parti socialiste, Europe Écologie/Les Verts, le Parti communiste français, Place publique ou encore Génération.s,
Les représentants locaux affirment leur volonté de bâtir un projet commun. Une déclaration de principe saluée par Marc Pena, figure socialiste à Aix, qui pourrait prendre la tête de cette liste d’union. « Cette fois, c’est officiel, c’est public. La démarche est lancée », souligne-t-il dans le communiqué.
Mais une absence notable vient nuancer cet appel à l’unité : celle de La France insoumise. Le parti de Jean-Luc Mélenchon n’a pas rejoint le mouvement. Contactée, la section locale reste laconique : « Nous avons décidé de ne faire aucun commentaire et laissons les autres formations s’organiser comme elles le souhaitent. »
La porte reste cependant ouverte. « La démarche reste inclusive. Elle s’adresse aussi bien à LFI qu’à d’autres forces de gauche ou écologistes », précise Marc Pena. Deux réunions sont d’ailleurs prévues dès le mois de juin pour poser les bases du programme et construire un rétroplanning de campagne.
Les représentants locaux affirment leur volonté de bâtir un projet commun. Une déclaration de principe saluée par Marc Pena, figure socialiste à Aix, qui pourrait prendre la tête de cette liste d’union. « Cette fois, c’est officiel, c’est public. La démarche est lancée », souligne-t-il dans le communiqué.
Mais une absence notable vient nuancer cet appel à l’unité : celle de La France insoumise. Le parti de Jean-Luc Mélenchon n’a pas rejoint le mouvement. Contactée, la section locale reste laconique : « Nous avons décidé de ne faire aucun commentaire et laissons les autres formations s’organiser comme elles le souhaitent. »
La porte reste cependant ouverte. « La démarche reste inclusive. Elle s’adresse aussi bien à LFI qu’à d’autres forces de gauche ou écologistes », précise Marc Pena. Deux réunions sont d’ailleurs prévues dès le mois de juin pour poser les bases du programme et construire un rétroplanning de campagne.
Un contexte politique en recomposition
Le retrait récent d’Anne-Laurence Petel (Renaissance) de la course municipale rebat quelque peu les cartes. Longtemps pressentie pour incarner une candidature du centre, l’ex-députée ne sera pas en lice.
Une annonce que Marc Pena juge favorable à la gauche : « Elle m’a désigné comme le principal adversaire de la dynastie Joissains. Je m’en félicite ! »
Reste à savoir si cette dynamique unitaire sera suffisante pour bousculer l’ancrage historique de la droite et du centre à Aix. Pour Pena, l’espoir est permis : « La droite et le centre sont eux aussi traversés par des tensions. Si nous savons rester unis, responsables et crédibles, nous avons une vraie chance. »
Une annonce que Marc Pena juge favorable à la gauche : « Elle m’a désigné comme le principal adversaire de la dynastie Joissains. Je m’en félicite ! »
Reste à savoir si cette dynamique unitaire sera suffisante pour bousculer l’ancrage historique de la droite et du centre à Aix. Pour Pena, l’espoir est permis : « La droite et le centre sont eux aussi traversés par des tensions. Si nous savons rester unis, responsables et crédibles, nous avons une vraie chance. »