Bouches-du-Rhône : 17 centres sociaux relèvent le défi de la déconnexion
Illustration/DR
C’est un défi peu commun que relèvent cette année 17 centres sociaux d’Aix, Marseille et des environs : proposer, pendant dix jours, des alternatives concrètes à la surconsommation d’écrans. Intitulée "Défi Déconnexion 2025", cette initiative coordonnée par l’Union des centres sociaux des Bouches-du-Rhône entend encourager petits et grands à “débrancher pour mieux se reconnecter”.
Ateliers créatifs, soirées jeux de société, débats sur les usages numériques, cours de cuisine ou activités sportives sont au programme de cette 4e édition, qui connaît un fort engouement : le nombre de structures participantes a plus que doublé en un an.
“L’idée n’est pas de culpabiliser, mais de créer un espace de réflexion et d’échange, tout en offrant des solutions concrètes”, explique Marine Dupuis-Maurin, déléguée adjointe à l’Union et coordinatrice du projet.
Au-delà des animations, ce défi s’inscrit dans une démarche de fond menée tout au long de l’année, en lien avec les écoles et les structures partenaires. L’objectif : sensibiliser aux effets parfois nocifs d’une surexposition numérique, devenue un véritable enjeu de santé publique.
Une démarche collective, inclusive et bienveillante
Pensé dans une logique d’éducation populaire, le Défi Déconnexion s’adresse aussi aux parents, parfois déboussolés face aux outils numériques. Des moments d’échange comme les cafés parents ou les débats sur le contrôle parental permettent d’aborder ces sujets sans jugement.
“Aujourd’hui, tout passe par le numérique, mais tout le monde n’est pas à l’aise avec ces outils. Il faut accompagner sans stigmatiser”, insiste Marine Dupuis-Maurin.
L’initiative est soutenue par des partenaires engagés comme l’association Lève les yeux ! ou encore le Comité départemental d’éducation pour la santé (CODES 13).
En misant sur le collectif et la durée, les centres sociaux espèrent faire émerger des habitudes plus saines, loin de la tyrannie des notifications. Et les familles semblent prêtes à jouer le jeu. Un petit pas pour chacun, un grand pas pour notre équilibre numérique.
Ateliers créatifs, soirées jeux de société, débats sur les usages numériques, cours de cuisine ou activités sportives sont au programme de cette 4e édition, qui connaît un fort engouement : le nombre de structures participantes a plus que doublé en un an.
“L’idée n’est pas de culpabiliser, mais de créer un espace de réflexion et d’échange, tout en offrant des solutions concrètes”, explique Marine Dupuis-Maurin, déléguée adjointe à l’Union et coordinatrice du projet.
Au-delà des animations, ce défi s’inscrit dans une démarche de fond menée tout au long de l’année, en lien avec les écoles et les structures partenaires. L’objectif : sensibiliser aux effets parfois nocifs d’une surexposition numérique, devenue un véritable enjeu de santé publique.
Une démarche collective, inclusive et bienveillante
Pensé dans une logique d’éducation populaire, le Défi Déconnexion s’adresse aussi aux parents, parfois déboussolés face aux outils numériques. Des moments d’échange comme les cafés parents ou les débats sur le contrôle parental permettent d’aborder ces sujets sans jugement.
“Aujourd’hui, tout passe par le numérique, mais tout le monde n’est pas à l’aise avec ces outils. Il faut accompagner sans stigmatiser”, insiste Marine Dupuis-Maurin.
L’initiative est soutenue par des partenaires engagés comme l’association Lève les yeux ! ou encore le Comité départemental d’éducation pour la santé (CODES 13).
En misant sur le collectif et la durée, les centres sociaux espèrent faire émerger des habitudes plus saines, loin de la tyrannie des notifications. Et les familles semblent prêtes à jouer le jeu. Un petit pas pour chacun, un grand pas pour notre équilibre numérique.
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