Le mouvement insoumis s’oppose frontalement à l’alliance annoncée entre plusieurs composantes de la gauche locale, dont les socialistes et les proches de Raphaël Glucksmann. "Il s’agit d’une union de façade", écrit LFI, qui dénonce une coalition « opportuniste » visant davantage, selon eux, à "préserver les intérêts d’appareils politiques et répartir les places" qu’à répondre aux besoins des Aixois.
Les insoumis reprochent aux socialistes et aux « glucksmanniens » d’avoir "renié le programme du Nouveau Front Populaire" et d’ouvrir la porte à des rapprochements avec "Macron et la droite conservatrice".
À rebours de cette stratégie, LFI assure vouloir porter une "liste citoyenne et populaire" en 2026, ouverte aux forces politiques qui resteront fidèles au programme du NFP. Le mouvement met en avant une gauche "des invisibles, des précaires, des jeunes, des racisé.es, des classes populaires et moyennes, de nos ainé.es maltraité.es", citant aussi le rôle des associations et collectifs locaux.
Le communiqué promet un "programme de rupture sociale, écologique, démocratique et antiraciste" pour "mettre fin à la politique inégalitaire et clientéliste du clan Joissains", accusée d’avoir nourri la progression de l’extrême-droite à Aix-en-Provence.
La campagne municipale ne fait que commencer, mais déjà les lignes de fracture apparaissent nettement entre une gauche rassemblée autour d’un front large et une France Insoumise déterminée à tracer sa propre voie.
Les insoumis reprochent aux socialistes et aux « glucksmanniens » d’avoir "renié le programme du Nouveau Front Populaire" et d’ouvrir la porte à des rapprochements avec "Macron et la droite conservatrice".
À rebours de cette stratégie, LFI assure vouloir porter une "liste citoyenne et populaire" en 2026, ouverte aux forces politiques qui resteront fidèles au programme du NFP. Le mouvement met en avant une gauche "des invisibles, des précaires, des jeunes, des racisé.es, des classes populaires et moyennes, de nos ainé.es maltraité.es", citant aussi le rôle des associations et collectifs locaux.
Le communiqué promet un "programme de rupture sociale, écologique, démocratique et antiraciste" pour "mettre fin à la politique inégalitaire et clientéliste du clan Joissains", accusée d’avoir nourri la progression de l’extrême-droite à Aix-en-Provence.
La campagne municipale ne fait que commencer, mais déjà les lignes de fracture apparaissent nettement entre une gauche rassemblée autour d’un front large et une France Insoumise déterminée à tracer sa propre voie.