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Les inscriptions ont été relevées au cimetière, sur des murs, des véhicules et des poubelles. Alertée rapidement, la police municipale a pu exploiter les images de vidéosurveillance. Celles-ci, transmises à la gendarmerie dans le cadre d’une réquisition, ont permis d’identifier les auteurs présumés en moins de 48 heures.
Deux personnes ont été convoquées puis placées en garde à vue. Un rapport officiel a été établi pour « dégradation ou détérioration légère d’un bien par inscription, signe ou dessin, commise en réunion ».
Dans la foulée, la commune a déposé plainte.
Deux personnes ont été convoquées puis placées en garde à vue. Un rapport officiel a été établi pour « dégradation ou détérioration légère d’un bien par inscription, signe ou dessin, commise en réunion ».
Dans la foulée, la commune a déposé plainte.
Le maire de Rousset, Philippe Pignon, a fermement condamné ces agissements : « Ces actes de vandalisme ne reflètent en rien l’esprit de notre commune. Je salue la réactivité exemplaire de nos forces de sécurité et la coopération efficace entre notre police municipale et la gendarmerie. Grâce à ce travail commun, les auteurs ont été arrêtés en un temps record. Il n’y a pas la place à Rousset pour ces actes profondément choquants. »
Le maire a rappelé que la municipalité resterait vigilante afin de préserver la tranquillité et la cohésion qui caractérisent, selon lui, la commune.