Les “Mobeurs” de Meyreuil ont emmené leurs montures des années 70 et 80 à l’assaut des sommets alpins, pour un défi aussi fou que délicieux : 350 kilomètres à travers les cols mythiques de la Cayolle, d’Allos et de Vars, perchés à plus de 2 300 mètres d’altitude.
Le point de départ, Méolans-Revel, dans la vallée de l’Ubaye, avait des airs de grand départ du Tour de France, version mobylette. Sur la ligne : Peugeot 103, Motobécane Bleue, Super Black, SP 94 TT ou encore Malagutti, toutes bichonnées au millimètre. Dans le cortège, un véhicule d’assistance, deux mobylettes de secours et un minibus suivaient la petite troupe comme une ombre bienveillante.
Les kilomètres ont filé au rythme du ronronnement des moteurs, entre virages serrés, paysages vertigineux et éclats de rire aux arrêts improvisés. Dans ces instants, la montagne offrait son lot de cartes postales vivantes : torrents d’un bleu glacé, prairies tapissées de fleurs sauvages, silence troublé seulement par le “pouet-pouet” caractéristique des vieilles mobs en montée.
À l’arrivée, la récompense fut à la hauteur de l’effort : un repas réconfortant au restaurant L’Espère, niché dans le vallon du Laverc, puis un accueil chaleureux au café des Thuiles. “Malgré quelques petits soucis mécaniques, aucune panne sérieuse n’a gâché l’aventure”, se réjouit Eladio, membre de l’association.
Derrière la réussite, il y a l’organisation impeccable de Gaëtan Zarco, président de l'association Meyreuil en Mob, et l’engagement des bénévoles.
Déjà, les moteurs chauffent dans les têtes pour 2026 : une nouvelle épopée, d’autres cols, et toujours cette odeur unique de liberté à deux-temps.
Page FaceBook : Association Meyreuil en Mob
Le point de départ, Méolans-Revel, dans la vallée de l’Ubaye, avait des airs de grand départ du Tour de France, version mobylette. Sur la ligne : Peugeot 103, Motobécane Bleue, Super Black, SP 94 TT ou encore Malagutti, toutes bichonnées au millimètre. Dans le cortège, un véhicule d’assistance, deux mobylettes de secours et un minibus suivaient la petite troupe comme une ombre bienveillante.
Les kilomètres ont filé au rythme du ronronnement des moteurs, entre virages serrés, paysages vertigineux et éclats de rire aux arrêts improvisés. Dans ces instants, la montagne offrait son lot de cartes postales vivantes : torrents d’un bleu glacé, prairies tapissées de fleurs sauvages, silence troublé seulement par le “pouet-pouet” caractéristique des vieilles mobs en montée.
À l’arrivée, la récompense fut à la hauteur de l’effort : un repas réconfortant au restaurant L’Espère, niché dans le vallon du Laverc, puis un accueil chaleureux au café des Thuiles. “Malgré quelques petits soucis mécaniques, aucune panne sérieuse n’a gâché l’aventure”, se réjouit Eladio, membre de l’association.
Derrière la réussite, il y a l’organisation impeccable de Gaëtan Zarco, président de l'association Meyreuil en Mob, et l’engagement des bénévoles.
Déjà, les moteurs chauffent dans les têtes pour 2026 : une nouvelle épopée, d’autres cols, et toujours cette odeur unique de liberté à deux-temps.
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