Un refuge chaleureux et ouvert à toutes
C’est une première en région Paca. À Trets, une Maison pas comme les autres sortira bientôt de terre. Son nom : Ellaé, clin d’œil aux trois filles de ses fondateurs, mais aussi hommage au pronom "elle", pour affirmer l’engagement clair du projet en faveur des femmes.
À l’origine, un duo : le Dr Sancini, médecin généraliste, et Jeanne Pascal, experte en santé publique. Ensemble, ils imaginent un lieu hybride, où se croisent écoute, soins, prévention, entraide et convivialité. « Ce lieu, c’est une réponse à un manque évident dans le secteur, confie Jeanne Pascal. Entre isolement, charge mentale, violences ou pathologies chroniques comme l’endométriose, beaucoup de femmes ont besoin d’un espace à elles, pensé pour elles. »
La Maison Ellaé se veut inclusive. Qu’il s’agisse de jeunes mères en difficulté, de femmes victimes de violences, de seniors isolés ou de professionnelles à bout de souffle, toutes y trouveront un accompagnement adapté. Le lieu réunira un pôle médical, un café associatif, des ateliers de prévention, des expositions thématiques, un espace enfants… le tout dans un environnement chaleureux, conçu comme un refuge plus qu’un centre de santé classique.
Ici, pas de hiérarchie figée. « Une bénéficiaire peut devenir bénévole, un médecin peut coanimer un atelier avec une usagère. C’est cette horizontalité, ce croisement des regards, qui donne du sens à notre démarche », explique l’équipe.
À l’origine, un duo : le Dr Sancini, médecin généraliste, et Jeanne Pascal, experte en santé publique. Ensemble, ils imaginent un lieu hybride, où se croisent écoute, soins, prévention, entraide et convivialité. « Ce lieu, c’est une réponse à un manque évident dans le secteur, confie Jeanne Pascal. Entre isolement, charge mentale, violences ou pathologies chroniques comme l’endométriose, beaucoup de femmes ont besoin d’un espace à elles, pensé pour elles. »
La Maison Ellaé se veut inclusive. Qu’il s’agisse de jeunes mères en difficulté, de femmes victimes de violences, de seniors isolés ou de professionnelles à bout de souffle, toutes y trouveront un accompagnement adapté. Le lieu réunira un pôle médical, un café associatif, des ateliers de prévention, des expositions thématiques, un espace enfants… le tout dans un environnement chaleureux, conçu comme un refuge plus qu’un centre de santé classique.
Ici, pas de hiérarchie figée. « Une bénéficiaire peut devenir bénévole, un médecin peut coanimer un atelier avec une usagère. C’est cette horizontalité, ce croisement des regards, qui donne du sens à notre démarche », explique l’équipe.
Un projet ancré localement
Mercredi 5 juin, les premiers contours du projet ont été officiellement posés lors d’une soirée de lancement des travaux sur le futur site de la Maison Ellaé. Étaient présents le maire de Trets, Pascal Chauvin, des représentants du cabinet d’architectes AA2B, plusieurs entreprises locales partenaires, ainsi qu’une cinquantaine de bénévoles et adhérents.
« Ce n’est pas encore l’inauguration, mais c’était un moment fort de reconnaissance et de mobilisation », souligne Jeanne Pascal. L’ouverture officielle est prévue pour décembre 2025.
En attendant, l’appel est lancé aux Tretsois. Citoyens, associations et entreprises sont invités à participer, que ce soit en proposant du temps, des compétences ou du matériel. Le projet mise également sur le mécénat de compétences pour faire vivre son modèle participatif.
Bien plus qu’un lieu, une promesse
La Maison Ellaé ambitionne d’être un point d’ancrage, de confiance et de lien. Un lieu où le "prendre soin" devient un geste partagé, un engagement collectif. « Ce projet est né d’un territoire, il doit vivre avec et pour lui », conclut l’équipe fondatrice.
Avec la Maison Ellaé, Trets s’apprête à devenir un exemple inspirant d’innovation sociale au féminin.
« Ce n’est pas encore l’inauguration, mais c’était un moment fort de reconnaissance et de mobilisation », souligne Jeanne Pascal. L’ouverture officielle est prévue pour décembre 2025.
En attendant, l’appel est lancé aux Tretsois. Citoyens, associations et entreprises sont invités à participer, que ce soit en proposant du temps, des compétences ou du matériel. Le projet mise également sur le mécénat de compétences pour faire vivre son modèle participatif.
Bien plus qu’un lieu, une promesse
La Maison Ellaé ambitionne d’être un point d’ancrage, de confiance et de lien. Un lieu où le "prendre soin" devient un geste partagé, un engagement collectif. « Ce projet est né d’un territoire, il doit vivre avec et pour lui », conclut l’équipe fondatrice.
Avec la Maison Ellaé, Trets s’apprête à devenir un exemple inspirant d’innovation sociale au féminin.