Var : un septuagénaire arrêté après avoir vandalisé un radar routier.
DR/Photo d'illustration
Le 16 octobre dernier, les gendarmes de la compagnie de Brignoles ont surpris un automobiliste en train de vandaliser un radar récemment réparé sur la départementale traversant la commune de La Roquebrussanne. L’appareil, remis en état quelques jours plus tôt après un premier acte de dégradation, a de nouveau été recouvert de peinture.
Selon les enquêteurs, le suspect, âgé de 78 ans, s’est rendu sur place à bord de son véhicule, muni d’une bombe de peinture. Ironie du sort : son permis de conduire lui avait été retiré plusieurs mois auparavant, après plusieurs infractions graves au code de la route.
Des armes découvertes à son domicile
Placée en garde à vue, la personne âgée a fait l’objet d’une perquisition à son domicile. Les gendarmes y ont découvert une vingtaine d’armes à feu, dont certaines de collection, détenues sans la moindre autorisation.
Présenté en comparution immédiate le lundi 20 octobre devant le tribunal judiciaire de Draguignan, le septuagénaire a été condamné à quatre mois de prison avec sursis, à 600 euros d’amende, et à la confiscation de l’ensemble de ses armes.
Les autorités locales rappellent que la dégradation de matériel public constitue un délit puni de lourdes sanctions, même lorsqu’elle s’exprime sous forme de « coup de colère ».
Selon les enquêteurs, le suspect, âgé de 78 ans, s’est rendu sur place à bord de son véhicule, muni d’une bombe de peinture. Ironie du sort : son permis de conduire lui avait été retiré plusieurs mois auparavant, après plusieurs infractions graves au code de la route.
Des armes découvertes à son domicile
Placée en garde à vue, la personne âgée a fait l’objet d’une perquisition à son domicile. Les gendarmes y ont découvert une vingtaine d’armes à feu, dont certaines de collection, détenues sans la moindre autorisation.
Présenté en comparution immédiate le lundi 20 octobre devant le tribunal judiciaire de Draguignan, le septuagénaire a été condamné à quatre mois de prison avec sursis, à 600 euros d’amende, et à la confiscation de l’ensemble de ses armes.
Les autorités locales rappellent que la dégradation de matériel public constitue un délit puni de lourdes sanctions, même lorsqu’elle s’exprime sous forme de « coup de colère ».
Éditorial
