Aix-en-Provence : le Studio Ely, quatre générations au service de la mémoire photographique
Les générations Ely
Tout commence en 1888, lorsque Henry Ely, formé chez les célèbres frères Lumière, fonde le Comptoir Photographique. En 1903, il installe son atelier au passage Agard, où l’adresse devient rapidement incontournable pour les Aixois.
Henry, puis son fils Hugo, son petit-fils Jean et enfin son arrière-petit-fils Jean-Éric perpétueront la tradition familiale. Ensemble, ils cumulent près de 150 années d’expérience photographique.
De père en fils, ils ont su transmettre un regard, une sensibilité artistique et surtout un profond attachement à Aix-en-Provence. Portraits, mariages, événements politiques, fêtes populaires ou transformations urbaines : rien n’a échappé à l’œil attentif des Ely. Leur travail constitue aujourd’hui un patrimoine hors norme, avec plus de 2 millions de clichés retraçant la vie culturelle, sociale et historique de la ville.
Le Studio Ely, c’est aussi l’héritage d’un inventeur. Henry Ely mit au point en 1907 une « machine photo-rotative », une tireuse par contact capable de produire jusqu’à 2 000 cartes postales en une nuit. Une innovation qui fit entrer Aix dans l’ère de la carte postale photographique et immortalisa notamment les grands carnavals de la Belle Époque.
Plus qu’un simple studio, le fonds Ely est un trésor de mémoire collective. Derrière chaque image, il y a l’empreinte d’une famille de photographes passionnés, qui a su capturer l’essence de la vie aixoise à travers les générations.
Henry, puis son fils Hugo, son petit-fils Jean et enfin son arrière-petit-fils Jean-Éric perpétueront la tradition familiale. Ensemble, ils cumulent près de 150 années d’expérience photographique.
De père en fils, ils ont su transmettre un regard, une sensibilité artistique et surtout un profond attachement à Aix-en-Provence. Portraits, mariages, événements politiques, fêtes populaires ou transformations urbaines : rien n’a échappé à l’œil attentif des Ely. Leur travail constitue aujourd’hui un patrimoine hors norme, avec plus de 2 millions de clichés retraçant la vie culturelle, sociale et historique de la ville.
Le Studio Ely, c’est aussi l’héritage d’un inventeur. Henry Ely mit au point en 1907 une « machine photo-rotative », une tireuse par contact capable de produire jusqu’à 2 000 cartes postales en une nuit. Une innovation qui fit entrer Aix dans l’ère de la carte postale photographique et immortalisa notamment les grands carnavals de la Belle Époque.
Plus qu’un simple studio, le fonds Ely est un trésor de mémoire collective. Derrière chaque image, il y a l’empreinte d’une famille de photographes passionnés, qui a su capturer l’essence de la vie aixoise à travers les générations.
Éditorial
