Installé dans le village depuis les années 80, après y avoir passé son enfance en vacances, Patrick Pin avait d’abord été adjoint au maire entre 1989 et 1995. Élu depuis près de 30 ans, il revendique un bilan marqué par la création d’équipements publics tels qu’une école, une salle des fêtes, un centre aéré, un dojo, des logements sociaux ou encore, récemment, un trottoir sur la route de Peynier.
Favorable aux idées communistes, il n’a toutefois jamais pris sa carte au parti, affirmant vouloir conserver sa liberté de parole. Il reconnaît que le rôle de maire s’est considérablement complexifié au fil du temps, notamment en matière juridique et administrative, au point qu’"il faut presque être avocat" pour exercer la fonction aujourd’hui.
Concernant les élections de 2026, Patrick Pin indique que sa décision n’est "pas encore complètement prise", même s’il se dit prêt à repartir : "Si l’élection avait lieu demain, j’irais." Il prévoit d’en discuter avec ses adjoints, et n’exclut pas que d’autres candidatures émergent dans son camp.
Depuis son arrivée à la mairie, il a toujours été réélu, avec notamment 76 % des voix en 2014 face à une candidate soutenue par l’UMP, puis 59 % en 2020 contre une liste sans étiquette. Il s’attend à une nouvelle opposition : "Il y en a toujours eu."
Favorable aux idées communistes, il n’a toutefois jamais pris sa carte au parti, affirmant vouloir conserver sa liberté de parole. Il reconnaît que le rôle de maire s’est considérablement complexifié au fil du temps, notamment en matière juridique et administrative, au point qu’"il faut presque être avocat" pour exercer la fonction aujourd’hui.
Concernant les élections de 2026, Patrick Pin indique que sa décision n’est "pas encore complètement prise", même s’il se dit prêt à repartir : "Si l’élection avait lieu demain, j’irais." Il prévoit d’en discuter avec ses adjoints, et n’exclut pas que d’autres candidatures émergent dans son camp.
Depuis son arrivée à la mairie, il a toujours été réélu, avec notamment 76 % des voix en 2014 face à une candidate soutenue par l’UMP, puis 59 % en 2020 contre une liste sans étiquette. Il s’attend à une nouvelle opposition : "Il y en a toujours eu."