Deux randonneurs, un couple de promeneurs venus profiter de la beauté du massif, avaient choisi cette journée idéale pour s’aventurer sur les sentiers au-dessus de l’hostellerie, sur la commune du Plan-d’Aups.
Mais ce qui devait n’être qu’une paisible balade s’est transformé, au fil des heures, en véritable épreuve.
En fin d’après-midi, alors que le soleil commençait à décliner derrière la crête, les deux marcheurs se sont rendu compte qu’ils avaient perdu le sentier principal. Un mauvais embranchement, quelques hésitations, et bientôt la certitude inquiétante de ne plus reconnaître les lieux. Les repères familiers s’étaient effacés, remplacés par un dédale de roches, de sous-bois et de ravins.
Pendant un temps, ils ont tenté de retrouver leur chemin, suivant un passage qui semblait redescendre vers la vallée. Mais à mesure qu’ils progressaient, le terrain devenait plus accidenté. D’un côté, des parois abruptes barraient la route. De l’autre, le sol se dérobait en pentes raides et dangereuses. Bientôt, les deux randonneurs se sont retrouvés piégés, incapables d’avancer ni de reculer sans risquer la chute.
Face à l’obscurité qui gagnait, la panique a commencé à monter. C’est finalement l’un d’eux qui a composé le 17 pour alerter les secours.
Rapidement, la gendarmerie a déclenché une opération de secours en montagne. Une équipe spécialisée en milieu périlleux du GRIMP des sapeurs-pompiers du Var, s’est rendue sur place, appuyée par un hélicoptère du détachement aérien de la gendarmerie. Depuis les airs, les secouristes ont repéré les deux silhouettes coincées sur un replat rocheux, à plusieurs centaines de mètres des sentiers balisés.
L’opération d’extraction, délicate, s’est déroulée dans des conditions rendues difficiles par la tombée de la nuit et le relief escarpé. Les secouristes, descendus en rappel, ont sécurisé les deux randonneurs avant de les hélitreuiller un à un vers la zone d’atterrissage.
Peu après 20 heures, les deux promeneurs étaient enfin en sécurité, fatigués, légèrement déshydratés, mais indemnes.
Mais ce qui devait n’être qu’une paisible balade s’est transformé, au fil des heures, en véritable épreuve.
En fin d’après-midi, alors que le soleil commençait à décliner derrière la crête, les deux marcheurs se sont rendu compte qu’ils avaient perdu le sentier principal. Un mauvais embranchement, quelques hésitations, et bientôt la certitude inquiétante de ne plus reconnaître les lieux. Les repères familiers s’étaient effacés, remplacés par un dédale de roches, de sous-bois et de ravins.
Pendant un temps, ils ont tenté de retrouver leur chemin, suivant un passage qui semblait redescendre vers la vallée. Mais à mesure qu’ils progressaient, le terrain devenait plus accidenté. D’un côté, des parois abruptes barraient la route. De l’autre, le sol se dérobait en pentes raides et dangereuses. Bientôt, les deux randonneurs se sont retrouvés piégés, incapables d’avancer ni de reculer sans risquer la chute.
Face à l’obscurité qui gagnait, la panique a commencé à monter. C’est finalement l’un d’eux qui a composé le 17 pour alerter les secours.
Rapidement, la gendarmerie a déclenché une opération de secours en montagne. Une équipe spécialisée en milieu périlleux du GRIMP des sapeurs-pompiers du Var, s’est rendue sur place, appuyée par un hélicoptère du détachement aérien de la gendarmerie. Depuis les airs, les secouristes ont repéré les deux silhouettes coincées sur un replat rocheux, à plusieurs centaines de mètres des sentiers balisés.
L’opération d’extraction, délicate, s’est déroulée dans des conditions rendues difficiles par la tombée de la nuit et le relief escarpé. Les secouristes, descendus en rappel, ont sécurisé les deux randonneurs avant de les hélitreuiller un à un vers la zone d’atterrissage.
Peu après 20 heures, les deux promeneurs étaient enfin en sécurité, fatigués, légèrement déshydratés, mais indemnes.
« Ils ont eu beaucoup de chance, confie un gendarme présent sur l’intervention. Dans ce secteur, on peut vite se retrouver coincé sans issue, surtout quand la nuit tombe. »
Une frayeur dont ils se souviendront sans doute longtemps. Les secours rappellent à cette occasion les précautions essentielles à toute sortie en montagne : vérifier son itinéraire, prévenir un proche de son parcours et de son heure de retour, et ne jamais quitter les sentiers balisés, aussi tentant que cela puisse paraître.
Ce soir-là, la Sainte-Baume, majestueuse et silencieuse, a retrouvé sa quiétude. Et les deux randonneurs, eux, ont regagné la plaine, soulagés, avec le sentiment d’avoir frôlé de près les limites de la nature sauvage.